MINIATURES — LA BELLE AU BOIS DORMANT
ECOLE ( 2007 )
représentations :
— 28 et 29 juin 2007
— Théâtre Maison du Peuple de Millau
Ballets classique
représentations :
— 28 et 29 juin 2007
— Théâtre Maison du Peuple de Millau
Ballets classique
réalisation
chorégraphies , mise en scène Silva Ricard
professeur adjoint Agnès Peladan
création costumes Delphine Dufas , Silva Ricard
atelier couture Angèle Arlès , Rosy Bitonti , Juliette Gonzales
lumières Frédéric Salvat , Marlène Ricard
vidéo Didier Compan
photos affiche, représentations © domimartin.com
affiche Marlène Ricard
photographes Daniel Jamme , Jacques Ricard , Philippe Crochet
professeur adjoint Agnès Peladan
création costumes Delphine Dufas , Silva Ricard
atelier couture Angèle Arlès , Rosy Bitonti , Juliette Gonzales
lumières Frédéric Salvat , Marlène Ricard
vidéo Didier Compan
photos affiche, représentations © domimartin.com
affiche Marlène Ricard
photographes Daniel Jamme , Jacques Ricard , Philippe Crochet
I MINIATURES
chorégraphies : Silva Ricard
musique : Karl Czerny (1791-1857)
musique : Karl Czerny (1791-1857)
II LA BELLE AU BOIS DORMANT
musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski
livret : Marius Petipa & Ivan Vsevolojski, d’après un conte de Charles Perrault
chorégraphie : Marius Petipa , ballet en III actes créé en 1890 au Théâtre Mariinski de St-Pétersbourg
livret : Marius Petipa & Ivan Vsevolojski, d’après un conte de Charles Perrault
chorégraphie : Marius Petipa , ballet en III actes créé en 1890 au Théâtre Mariinski de St-Pétersbourg
Prologue & Acte I
SILVA nous présente sa Belle, revisitant ainsi le plus célèbre des sommeils. Marius Petipa, lui-même, était conscient de la nécessaire évolution des œuvres transmises ainsi, de manière initiatique. Il la savait normale et inévitable. Car l’essentiel n’est-il pas qu’au fil des années, la force mythique du conte ne perde rien de sa capacité à nous faire rêver."
SILVA nous présente sa Belle, revisitant ainsi le plus célèbre des sommeils. Marius Petipa, lui-même, était conscient de la nécessaire évolution des œuvres transmises ainsi, de manière initiatique. Il la savait normale et inévitable. Car l’essentiel n’est-il pas qu’au fil des années, la force mythique du conte ne perde rien de sa capacité à nous faire rêver."