PIERRE ET LE LOUP — LES SYLPHIDES
ECOLE ( 2008 )
création , premières :
— 6 et 7 juin 2008
— Théâtre Maison du Peuple de Millau
Ballets classique
création , premières :
— 6 et 7 juin 2008
— Théâtre Maison du Peuple de Millau
Ballets classique
réalisation
chorégraphe Silva Ricard
professeur adjoint Agnès Peladan
création costumes Delphine Dufas , Silva Ricard
atelier couture Angèle Arlès , Rosy Bitonti , Juliette Gonzales
régie lumières Frédéric Salvat
vidéo Didier Compan
photo affiche © domimartin.com
photos représentations © domimartin.com , Jacques Ricard , Eva Tissot , Philippe Crochet
professeur adjoint Agnès Peladan
création costumes Delphine Dufas , Silva Ricard
atelier couture Angèle Arlès , Rosy Bitonti , Juliette Gonzales
régie lumières Frédéric Salvat
vidéo Didier Compan
photo affiche © domimartin.com
photos représentations © domimartin.com , Jacques Ricard , Eva Tissot , Philippe Crochet
I PIERRE ET LE LOUP
Conte musical pour enfants
création chorégraphique 1982 Silva Ricard
livret, musique, texte Sergueï Prokofiev
première musicale 1936 au Théâtre Central de Moscou
distribution
Michel Wolkowitsky ( le conteur )
Juliette Reynier ( Pierre-cordes ), Diane Auriol ( oiseau-flûte ), Cloé Bitonti ( chat-clarinette ), Anaïs Dherbécourt ( canard-hautbois )
Emilie Gonzales ( loup-cors ), Julie Vayssettes ( grandpère-basson ) & les élèves de l'Ecole de danse.
les musiciens
Geneviève Combes ( oiseau-flûte ), Marie-Cécile Charlet et Carine Ramier ( canard-hautbois ), Sonia Bazizi et Gabrielle Marcillac ( chat-clarinette ), Bastien Baumevieille ( grandpère-basson ), Claude Archimbaud ( loup-cors ).
Le quatuor à cordes "Pierre" : Prélude au violon : Emiliya Archimbaud , Clémence Laur , Laetita Gaubert, Brigitte Jeanguillaume ( violoncelle )
création chorégraphique 1982 Silva Ricard
livret, musique, texte Sergueï Prokofiev
première musicale 1936 au Théâtre Central de Moscou
distribution
Michel Wolkowitsky ( le conteur )
Juliette Reynier ( Pierre-cordes ), Diane Auriol ( oiseau-flûte ), Cloé Bitonti ( chat-clarinette ), Anaïs Dherbécourt ( canard-hautbois )
Emilie Gonzales ( loup-cors ), Julie Vayssettes ( grandpère-basson ) & les élèves de l'Ecole de danse.
les musiciens
Geneviève Combes ( oiseau-flûte ), Marie-Cécile Charlet et Carine Ramier ( canard-hautbois ), Sonia Bazizi et Gabrielle Marcillac ( chat-clarinette ), Bastien Baumevieille ( grandpère-basson ), Claude Archimbaud ( loup-cors ).
Le quatuor à cordes "Pierre" : Prélude au violon : Emiliya Archimbaud , Clémence Laur , Laetita Gaubert, Brigitte Jeanguillaume ( violoncelle )
Serge Prokofiev écrit en une semaine le texte et la musique de ce conte musical destiné à émerveiller les petits enfants de la Russie soviétique . Construite autour d'un thème profondément enraciné dans l'imaginaire collectif de son peuple , cette demi-heure de musique va s'imposer peu à peu sur l'ensemble des scènes et des écoles du globe , devenant par là-même l'oeuvre la plus populaire de Prokofiev . La force de cette oeuvre réside d'abord dans une apparente simplicité , une ingénuité somme toute mozartienne . Ce conte musical adresse un message d'une rare intelligence - en faisant appel à leur mémoire musicale , à leur sens du timbre , mais aussi à leur sensibilité . A ce titre , l'ouvrage décèle une véritable mine pédagogique .
II LES SYLPHIDES
Ballet en I acte
création 1909 au Théâtre du Châtelet Paris
chorégraphie de Mikhaïl Fokine, musique de Frédéric Chopin
création 1909 au Théâtre du Châtelet Paris
chorégraphie de Mikhaïl Fokine, musique de Frédéric Chopin
Le ballet sans argument , met en scène des sylphides aux ailes de papillons dans un paysage de ruines romantiques . Cette rêverie fut d'abord conçue , en 1907 , par Mikhaïl Fokine comme une fête polonaise en costumes nationaux intitulée Chopiniana , en hommage à Chopin évoqué sur scène . Le chorégraphe donna sa forme définitive à l'ouvrage pour la saison 1909 des Ballets Russes au théâtre du Châtelet . Le titre "Les Sylphides" fut proposé par Alexandre Benois , auteur des costumes inspirés du premier et plus célèbre des tutus , celui de Marie Taglioni dans "La Sylphide" en 1832 . Avec cet ouvrage , qui connaît toujours un succès considérable , Fokine a su , au début du XXè siècle , retrouver l'essence même du ballet romantique dans sa représentation la plus poétique et la plus diaphane , celle immatérielle des actes II de "Giselle" , de "La Sylphide" et du "Lac des cygnes" , et même plus pure , puisque son ballet est dépourvu d'argument .